Lesfemmes sont sur la terre Pour tout idéaliser; L’univers est un mystère Que commente leur baiser. C’est l’amour qui, pour ceinture, A l’onde et le firmament, Et dont toute la nature, N’est, VictorHugo (1802-1885) est l’un des plus grands auteurs de la littérature française. À la fois poète, écrivain, dramaturge, dessinateur et romancier, son engagement politique lui vaudra d’être exilé sous le second empire. Au vu de son idéologie humaniste et romantique d’une part et de ses positions politiques et sociales d’autre part, il a su marquer son époque et devenir le Ala même époque que Victor Hugo, le poète Gérard de Nerval (1808-1855) exprime un constat similaire sur la décrépitude de Notre-Dame. Il lui dédie un poème en 1832, Notre-Dame de Paris Vendredi21 et samedi 22 janvier, la médiathèque du Grand Narbonne invite les amoureux des mots lus, chuchotés, dansés ou déclamés à voix haute à participer aux Nuits de la lecture, cette Auhasard des rues ou à l’ombre d’une tombe, Besançon regorge de penseurs et d’agitateurs indignés nés entre ses murs. L’hommage à Charles Fourier, rue Moncey à Besançon. Les femmes sont sur la terre » collection « Mon bras pressait ta taille frêle » Victor Hugo Nelson 1911 Paris T « Mon bras pressait ta taille frêle » Hugo - Les Contemplations, Nelson, Nevis pas sur cette terre, à la façon d’un locataire, Ou bien en villégiature dans la nature. Vis dans ce monde, comme si c’était la maison de ton père, Crois au grain, à la terre, à la mer, mais avant tout à l’homme. Sens la tristesse de la branche qui se déssèche, De la planète qui s’éteint, de l’animal infirme, Mais aime la tristesse de l’homme Que tous les biens Zemmoursur Cnews porte des accusations mensongères sur l’islam et les musulmans durant l'émission de Cnews « face à l’info » du 15/04/2021. Lors du thème « l’Affaire Lafemme sans terre. ' La femme sans terre. Proposition (s) de lecture du Louise Michel de Kateb Yacine : territoire, lutte, théâtralité. Luc Vidal Davin, membre du la faculté de recherche en Littérature. Toute réaction ou commentaire par rapport à ce travail de recherche sont les bienvenus sur cette page de discussion. 5ème: A propos des inégalités hommes/femmes dans le travail : à la question "Pourquoi ces inégalités sont-elles gênantes pour les femmes ? réponse de R. "Parce que si la femme ne fait rien, l'homme qui travaille beaucoup va s'énerver" ! Même classe : Travail sur l'église au moyen age : F. " Moi, j'aimerais bien devenir moine jc5IN. 5 août 2010 4 05 /08 /août /2010 0700 Le jeudi en poésie chez les "Croqueurs de mots" Victor Hugo 1802 - 1885 Les femmes sont sur la terre Pour tout idéaliser; L'Univers est un mystère Que commente leur baiser. C'est l'amour qui, pour ceinture, A l'onde et le firmament, Et dont toute la nature, N'est, au fond, que l'ornement. Tout ce qui brille, offre à l'âme Son parfum ou sa couleur, Si Dieu n'avait fait la femme, Il n'aurait pas fait la fleur. A quoi bon vos étincelles, Bleus saphirs, sans les yeux doux ? Les diamants, sans les belles, Ne sont plus que des cailloux; Et dans les charmilles vertes, Les roses dorment debout, Et sont des bouches ouvertes Pour ne dire rien du tout. Tout objet qui charme ou rêve Tient des femmes sa clarté; La perle blanche sans Eve, Sans toi, ma fière beauté, Ressemblant, tout enlaidie, A mon amour qui te fuit, N'est plus que la maladie D'une bête dans la nuit. Recueil Les Contemplations. Mamie Claude - dans Poésies Pour tout idéaliser ;L’univers est un mystèreQue commente leur l’amour qui, pour ceinture,A l’onde et le firmament,Et dont toute la nature,N’est, au fond, que l’ ce qui brille, offre à l’âmeSon parfum ou sa couleur ;Si Dieu n’avait fait la femme,Il n’aurait pas fait la quoi bon vos étincelles,Bleus saphirs, sans les yeux doux ?Les diamants, sans les belles,Ne sont plus que des cailloux ;Et, dans les charmilles vertes,Les roses dorment debout,Et sont des bouches ouvertesPour ne rien dire du objet qui charme ou rêveTient des femmes sa clarté ;La perle blanche, sans Eve,Sans toi, ma fière beauté,Ressemblant, tout enlaidie,A mon amour qui te fuit,N’est plus que la maladieD’une bête dans la Hugo Les Contemplations »