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Une femme apparaĂźt enfin sur l’écran. Ses poignets sont attachĂ©s au plafond. Elle porte un bĂąillon boule. Son corps est nu et ses talons touchent Ă  peine le sol. Un homme en combinaison de latex noire se tient devant elle, puis, sous le regard inquiet de sa partenaire, il lui fouette les fesses plusieurs fois. “Je regarde du pain porn plusieurs fois par jour. Je me masturbe beaucoup en regardant des films de ce type”, explique sans timiditĂ© la jeune Bagdadie de 29 ans. Cheveux attachĂ©s en queue de cheval, T-shirt moulant, pantalon noir taille haute, elle officie comme assistante dans une clinique privĂ©e de la capitale irakienne et, comme de nombreux et nombreuses amies nĂ©es dans les annĂ©es 1990, elle n’envisage pas sa sexualitĂ© sans violence. Le pain porn est donc devenu son critĂšre favori dans la barre de recherche de son navigateur. Soumission, coups, Ă©tranglement, mais aussi scĂ©narios alambiquĂ©s, accessoires et tenues sophistiquĂ©s, Mina est exigeante. Selon le site d’information saoudien Al-Arabiya, “pain” “douleur” est le quatriĂšme mot le plus recherchĂ© par les internautes irakiennes sur des sites pornographiques aprĂšs les classiques critĂšres de mensurations, de couleur de peau ou de cheveux. Mina est formelle, le phĂ©nomĂšne connaĂźt un vĂ©ritable boom en Irak. Des poils pubiens Ă  la tĂ©lĂ©vision En 2003, les États-Unis invoquent l’existence d’armes de destruction massive – chimiques et nuclĂ©aires – en Irak et forment une coalition pour envahir le pays et mettre un terme au rĂšgne de Saddam Hussein. L’Irak vit alors coupĂ© du monde autant par un rĂ©gime dictatorial, qui pratique sans scrupule la violence de masse, que par un embargo instaurĂ© depuis 1990 Ă  son encontre. L’arrivĂ©e des change la donne pour ce pays coincĂ© entre l’Iran, l’Arabie saoudite et la Syrie. Une soif de libertĂ© d’expression et de consommation gagne l’Irak. Les rares chaĂźnes de propagande du parti Baas qui disparaĂźt en Irak avec la chute de Saddam Hussein cĂšdent la place Ă  des programmes venus du monde entier par satellite. On zappe la tĂ©lĂ© irakienne comme on feuilletterait le catalogue de La Redoute. Il y a de tout des prĂȘches religieux venus d’Arabie saoudite oĂč de vieux barbus soporifiques rĂ©citent le Coran, des tĂ©lĂ©novelas d’AmĂ©rique latine, du catch, des documentaires animaliers et
 des chaĂźnes pornographiques. “Mordre, griffer, gifler, frapper
, si un mec ne me fait pas ça, je n’ai pas de plaisir” Longtemps habituĂ©s Ă  la moustache broussailleuse de Saddam Hussein, les foyers irakiens dĂ©couvrent alors avec stupeur les poils pubiens. Mina a alors 13 ans. Ce sera sa premiĂšre vision de la sexualitĂ©. “Je me souviens qu’il y avait de nouvelles chaĂźnes Ă©trangĂšres dĂ©diĂ©es Ă  la prostitution du type Si tu veux une fille comme ça et de tel pays, appelle ce numĂ©ro’. Une copine avait l’habitude de m’inviter chez elle et on regardait ces programmes en boucle. On aimait ça, on ne savait pas pourquoi, mais on avait ce dĂ©sir. Mon amie apportait du vinaigre dans des verres pour faire comme si c’était du whisky, parce qu’on voyait des mecs avec des verres d’alcool sur ces chaĂźnes libertines.” Quatre ans plus tard, Ă  17 ans, elle mate son tout premier film et va jusqu’au bout du spectacle. “Des amies m’ont conseillĂ© de m’y mettre pour dĂ©couvrir comment faire pour avoir un orgasme. AprĂšs ça, j’ai voulu aller plus loin. Je voulais quelque chose de plus enivrant, plus fort et violent. Je me suis donc rapidement tournĂ©e vers le pain porn. Je voulais devenir une professionnelle au lit.” Mina ne vient pas des quartiers riches de Bagdad, dĂ©crivant sa famille comme trĂšs conservatrice une femme ne peut choisir librement son compagnon, et le sexe – grand tabou – n’est envisageable qu’aprĂšs le mariage. “Le sexe violent est pour nous un refuge” En thĂ©orie, il n’est d’ailleurs pratiquĂ© que pour procrĂ©er et non pour le plaisir, comme le recommandent les imams conservateurs de l’islam chiite ou sunnite. MalgrĂ© le risque d’ĂȘtre rejetĂ©e par sa famille – ou, pire, d’ĂȘtre abattue par un de ses membres –, cette cĂ©libataire dit vivre aujourd’hui une vie sexuelle trĂšs active, en cachette. Sans gĂȘne, elle dĂ©taille, sourire aux lĂšvres, tous les actes de soumission et de violence que son copain lui fait subir dĂšs qu’il et elle peuvent se voir. “Mordre, griffer, gifler, frapper
, si un mec ne me fait pas ça, je n’ai pas de plaisir”, Ă©numĂšre la jeune femme avec aplomb. Le pain porn a complĂštement modifiĂ© ses habitudes et son rapport au sexe. Mais, par-delĂ  les films, visionnĂ©s sur des plateformes amĂ©ricaines, c’est du cĂŽtĂ© de la violence mĂȘme de la sociĂ©tĂ© irakienne et des multiples guerres qu’il faut chercher l’origine de son goĂ»t pour la douleur sexuelle. “Le sexe violent est pour nous un refuge. Nous aimons ça car notre quotidien est dur et nous sommes obligĂ©s de vivre et d’agir avec cette rĂ©alitĂ©.” De la premiĂšre guerre civile entre 2006 et 2009 aux luttes interminables contre Al-Qaida puis l’État islamique, la jeune femme a perdu huit membres de sa famille. “La guerre est lĂ , avoue Mina. MĂȘme si nous ne voulons pas qu’elle entre dans notre vie sociale, c’est peine perdue”, concĂšde-t-elle. Rien qu’à Bagdad, au plus fort de la prĂ©sence d’Al-Qaida, entre 2006 et 2010, environ dix Ă  vingt attentats suicides frappaient chaque jour des innocentes. “Moi, je prĂ©fĂšre quand les choses sont dures. Un des mecs avec qui j’ai eu des relations Ă©tait soft et romantique. Je lui ai demandĂ© d’ĂȘtre agressif et de me frapper durant nos rapports”, explique Mina. Myriam, une amie prĂ©sente dans la piĂšce, abonde “Nos vies ne sont qu’un rapport de force constant. Observez la rue les gens ne se parlent pas, ils se gueulent dessus. Il y a une telle violence en chacun de nous. La plupart de mes amies n’ont pas eu de parents qui s’aimaient, par exemple. En rĂ©alitĂ©, beaucoup se tapaient dessus. Notre sexualitĂ© violente est un exutoire Ă  cela.” © Sebastian Castelier Soraya nous donne rendez-vous au second Ă©tage d’un cafĂ© au style amĂ©ricain rĂ©tro du nord de Bagdad. Elle tend une main molle, puis se rassoit timidement. Gloss rose sur ses lĂšvres brillantes, elle demande “Alors, que voulez-vous savoir ? Combien de fois par semaine je regarde du pain porn ?” Elle hoche la tĂȘte puis lance “Vous devriez me demander plutĂŽt combien de fois par jour.” Le fouet et les menottes font partie de son quotidien Soraya est une grande addict. Des mƓurs rĂ©primĂ©es avant 2003 Cette Ă©tudiante de 26 ans en management Ă©conomique dit en consommer plusieurs fois par jour. “Depuis que nous sommes nĂ©s, nous ne voyons que de la violence, y compris dans nos relations avec nos parents. MĂȘme au sein des couples que nous connaissons, nous ne voyons pas une femme et un homme, mais des gens qui se battent, se crient dessus, se parlent agressivement. L’acte sexuel chez nous ne peut donc ĂȘtre quelque chose de trĂšs romantique, mais plutĂŽt d’extrĂȘmement violent.” La premiĂšre expĂ©rience de pornographie de Soraya se fait sur DVD juste avant l’invasion amĂ©ricaine. Le disque est sans couleur, sans cover, sans Ă©crit – anonyme. “J’étais petite, je savais qu’il y avait un truc interdit dessus. Par curiositĂ©, j’ai regardĂ©.” À l’époque, Saddam Hussein renforce la rĂ©pression contre les mƓurs dites dĂ©viantes, qui ne respectent pas les interdits de l’islam. Les rares cafĂ©s underground proposant des sĂ©ances de visionnage pornographique sont traquĂ©s. En Irak, on a l’habitude de dire que, pour faire fermer la concurrence, une dĂ©nonciation pour pornographie suffit. “Avant 2003, il n’y avait quasiment rien et il Ă©tait extrĂȘmement difficile de se procurer du matĂ©riel pornographique magazines, vidĂ©os, etc.. Le rĂ©gime de Saddam Hussein rĂ©primait violemment la pornographie, la prostitution et le proxĂ©nĂ©tisme”, explique Loulouwa Al-Rachid, chercheuse au Carnegie Middle East Center de Beyrouth, un important think tank. © Sebastian Castelier La libĂ©ralisation soudaine de la sociĂ©tĂ© irakienne aprĂšs l’invasion amĂ©ricaine dĂ©mocratise la pornographie dans les foyers. Soraya se souvient “AprĂšs l’invasion amĂ©ricaine, le porno est devenu plus commun. Il y avait plus de CD, puis aprĂšs c’est arrivĂ© sur nos smartphones. Avant, seuls les mecs pouvaient regarder du porno car ils pouvaient s’arranger pour en trouver, mais aprĂšs 2003, les filles ont regardĂ© Ă©galement des films car il Ă©tait plus facile pour nous d’y accĂ©der.” “La santĂ© psychiatrique est un concept qui n’existe pas en Irak” MĂȘme si elle dit n’en avoir jamais parlĂ© Ă  sa mĂšre, dans son entourage, le visionnage de pain porn tourne Ă  plein rĂ©gime. Soraya dit qu’il est majoritaire parmi ses amies et qu’il est une des rares sources d’initiation Ă  la sexualitĂ©. “On s’est initiĂ©es aux pratiques violentes ou de soumission. Les habits en cuir, c’était nouveau. On ne savait pas non plus que les relations lesbiennes Ă©taient possibles
”, se souvient-elle. La jeune femme avoue aimer se faire violenter pendant ses rapports sexuels. Plus qu’un extra utilisĂ© avec parcimonie, les Ă©tranglements, les coups, le fouet, le menottage, les griffures, les morsures ou claques sont devenus des incontournables pour l’étudiante. “Maintenant, je bloque systĂ©matiquement le moindre mec romantique ou soft au lit, rigole-t-elle. Notre pays est en guerre depuis des annĂ©es. Dans le Coran aussi, il est Ă©crit qu’il faut contrĂŽler, se battre, tuer. L’islam est une religion violente. La sociĂ©tĂ© dans laquelle on vit contrĂŽle et nourrit nos dĂ©sirs.” “Personne ne sait quoi faire de sa tristesse ou de sa colĂšre” Dans son article “À propos de la violence irakienne’. Quelques Ă©lĂ©ments de rĂ©flexion sur un lieu commun” dans la revue A contrario de janvier 2008, en ligne sur Cairn, la chercheuse Loulouwa Al-Rachid rappelle “La guerre a tuĂ©, mutilĂ©, ou transformĂ© [
] des centaines de milliers d’Irakiens, et n’a Ă©pargnĂ© aucun aspect de leur vie les choix de carriĂšre, les Ă©tudes, les trajectoires familiales, les relations entre hommes et femmes.” Rory travaille en tant qu’interne dans un hĂŽpital de Bassora, ville situĂ©e au sud-est de Bagdad. Il y a quelques mois, la jeune femme est passĂ©e par le dĂ©partement psychiatrie. “Il Ă©tait presque toujours vide la santĂ© psychiatrique est un concept qui n’existe pas en Irak. Personne ne sait quoi faire de sa tristesse ou de sa colĂšre. On apprend aux hommes Ă  ĂȘtre forts et Ă  traduire cela en violences physiques ou verbales.” La mort mĂȘme s’est banalisĂ©e Elle raconte une Ă©difiante anecdote un jour, une mĂšre de famille vient solliciter son dĂ©partement pour un soutien psychologique et, surtout, une Ă©coute. Elle est reçue par la jeune Ă©tudiante et plusieurs de ses collĂšgues. La patiente se plaint d’ĂȘtre frappĂ©e durant ses Ă©bats sexuels par son mari. “Une des internes avec qui je bossais lui a lancĂ© Et alors, tu es chanceuse !’” Rory se rend compte avec surprise qu’elle n’est pas la seule Ă  aimer la violence sexuelle. “J’en ai parlĂ© aprĂšs avec mes amies, et elles m’ont avouĂ© qu’elles aussi regardaient du pain porn. C’est populaire ! Toutes me disent que ça les apaise. Vous savez, la valeur sexuelle d’une personne ici se mesure Ă  son degrĂ© de violence et de duretĂ©.” Le gore et l’extrĂȘme violence ont infiltrĂ© ainsi la vie sexuelle d’une grande partie de la jeune gĂ©nĂ©ration irakienne. La mort s’est mĂȘme banalisĂ©e. Rory, comme des millions d’enfants irakiennes, n’a pas Ă©tĂ© Ă©pargnĂ©e par les expĂ©riences choquantes. Elle se souvient d’une nuit de combats entre les forces de Saddam Hussein et les AmĂ©ricains. Ce soir-lĂ , le bruit des balles, des avions et des bombardements secoue les tĂ©nĂšbres de son voisinage situĂ© dans la province de Dhi Qar. “Je pense que la violence dans le sexe et les pornos que nous regardons, c’est une suite logique, un outil pour sortir toute notre rage” Au petit matin, elle suit sa mĂšre pour aller Ă  la boulangerie du coin. Horreur “Il y avait des cadavres partout.” Ces images la hantent encore. “Je pense que la violence dans le sexe et les pornos que nous regardons, c’est une suite logique, un outil pour sortir toute notre rage.” Pour Rory, le fait de regarder du pain porn n’est pas un tabou dans ses conversations avec ses copines. Pendant longtemps, elle s’est demandĂ© si elle Ă©tait la seule Ă  avoir dĂ©veloppĂ© ce goĂ»t pour la sexualitĂ© violente. “On en parle ouvertement ensemble. Mes amies qui en regardent me disent toujours qu’elles se sentent plus sereines aprĂšs. Comme si on avait besoin d’extĂ©rioriser ce trop-plein Ă  travers le sexe.” La guerre est encore passĂ©e par lĂ  Sur les bords du Chatt-al-Arab, dans un ancien palais luxueux de Saddam Hussein, le docteur algĂ©rien Wesam al-Radiny, 50 ans, reçoit en blouse blanche. L’homme travaille dans un hĂŽpital de suivi mĂ©dical des blessĂ©s de la guerre contre Daech. Civils et miliciens viennent ici Ă  l’abri des regards. L’an prochain, un complexe spĂ©cialisĂ© dans la prise en charge psychiatrique ouvrira ses portes. “Nous n’avons pas de telle structure en Irak. Ce sera une premiĂšre, nous allons expĂ©rimenter.” Wesam reconnaĂźt que l’Irak est en retard dans le domaine, au vu de la violence et des traumatismes qu’a subis le pays. “J’ai lu dans une Ă©tude qu’il fallait au minimum trois gĂ©nĂ©rations pour effacer la plupart des traumas. Nous n’avons toujours pas ici la moindre gĂ©nĂ©ration qui ait vĂ©cu la paix, et il y a eu tellement de guerres
” © Sebastian Castelier Abbas, 33 ans, en T-shirt bleu, bagues aux doigts, a choisi le hall de l’ancien Sheraton de Bagdad pour se livrer. Une grande statue, au regard meurtri par le temps et le mauvais entretien, pleure des gouttes d’eau. Les lustres dorĂ©s sont gris de poussiĂšre. La guerre est encore passĂ©e par lĂ . Ce fonctionnaire aux Affaires Ă©trangĂšres peut en tĂ©moigner. Un jour, une explosion retentit Ă  l’extĂ©rieur de son lieu de travail. Abbas se prĂ©cipite dehors “Il y avait ce pick-up avec une famille
 Tout le monde Ă©tait mort, sauf un mouton Ă  l’arriĂšre qui n’arrĂȘtait pas de gĂ©mir. Depuis que nous sommes nĂ©s, il n’y a que ça en Irak
”, soupire-t-il. Une femme, bandeau sur la bouche, maquillage ruisselant sous ses larmes Le jeune homme nous prie de le suivre dans une salle annexe oĂč de petits canapĂ©s en cuir noir fatiguĂ©s sont Ă©clairĂ©s par quelques faibles lampes. Il nous raconte que sa premiĂšre expĂ©rience avec la pornographie remonte Ă  ses 11 ans. Le mari de sa tante Ă©tait alors colonel dans les services de renseignements. Abbas raconte que le haut fonctionnaire avait des passe-droits et dissimulait d’étranges cassettes vidĂ©o. “J’avais l’habitude d’aller chez ma tante et d’explorer leur maison. Un jour, j’ai passĂ© une de ces fameuses cassettes, et vous connaissez la suite
” Il sort son smartphone et prĂ©sente quelques films, sans gĂȘne apparente, qu’il prend plaisir Ă  regarder ces derniers temps aprĂšs le travail. Une femme, bandeau sur la bouche, maquillage ruisselant sous ses larmes, est Ă  quatre pattes. Une silhouette lui tire les cheveux. “Depuis que nous sommes nĂ©s, nous n’avons connu qu’un enchaĂźnement de guerres. La violence s’est infiltrĂ©e partout Ă  la tĂ©lĂ©vision, dans nos familles, dans la rue
 Nos vies sont anormales, nous avons donc des rapports sexuels extrĂȘmes.” “En Irak, le corps est depuis longtemps le champ des violence” Le succĂšs de ces reprĂ©sentations Ă  l’écran n’est Ă©videmment pas anodin et ces images alimentent sans doute Ă  leur tour la violence des hommes vis-Ă -vis des femmes. Selon l’Unicef, entre 2020 et 2021, la violence basĂ©e sur le genre VBG a augmentĂ© de 125 %, dĂ©passant les 22 000 cas dans tout l’Irak. Environ 1,32 million de personnes 75 % de femmes et d’adolescentes sont exposĂ©es Ă  diffĂ©rentes formes de VBG, 77 % des incidents Ă©tant liĂ©s Ă  la violence domestique, qui aurait augmentĂ© pendant la pandĂ©mie de Covid. Un constat inquiĂ©tant, d’autant que l’Irak n’a actuellement pas de loi sur les violences conjugales. Le code pĂ©nal de 1969 punit les attaques physiques entraĂźnant des blessures corporelles d’au moins un an de prison, mais considĂšre la punition d’une femme par son mari comme un droit lĂ©gal. Selon une statistique des Nations unies, 46 % des femmes actuellement mariĂ©es en Irak ont Ă©tĂ© exposĂ©es Ă  au moins une forme de violence psychologique, physique ou sexuelle de la part de leur conjoint. © Sebastian Castelier Hardy Mede, chercheur irakien du Centre europĂ©en de sociologie et de science politique CESSP rattachĂ© Ă  l’universitĂ© Paris 1, nous explique “En Irak, le corps est depuis longtemps le champ des violences. Dans la sociĂ©tĂ©, il est admis que l’éducation, la punition ou encore l’amour peuvent passer par la violence physique des corps. MĂȘme le code pĂ©nal permet Ă  l’homme de corriger sa femme par des moyens coercitifs, dont notamment des coups de fouet. Cette normalisation juridique de la violence dans l’intimitĂ© des couples a un impact Ă©vident. C’est pourquoi la sexualitĂ© est aussi sujette Ă  cette extrĂȘme violence. Elle ne peut pas en ĂȘtre Ă©pargnĂ©e dans un tel contexte. La sociĂ©tĂ© irakienne traverse depuis quarante ans de nombreuses guerres. On en a fait l’apologie Ă  la tĂ©lĂ©vision pendant des annĂ©es. Je me souviens que, pendant la guerre Iran-Irak, on montrait les cadavres et les supplices faits aux soldats iraniens. Je crois que l’émergence d’Al-Qaida et de l’état islamique a eu aussi des consĂ©quences immenses. Toutes leurs vidĂ©os trash trĂšs scĂ©narisĂ©es ont laissĂ© des traces dans l’inconscient collectif. Tout cela a grandement infusĂ© dans la sociĂ©tĂ© irakienne. Ajoutez Ă  cela la misĂšre sociale et Ă©conomique, et il est Ă©vident que les gens ne peuvent pas avoir des relations sociales normales. Les Irakiens s’invectivent facilement, ils peuvent ĂȘtre facilement colĂ©riques, ils sont sur les nerfs. Il y a une tension perpĂ©tuelle qui se traduit Ă©videmment dans les rapports sexuels.” 1. Les prĂ©noms ont Ă©tĂ© changĂ©s. cafeyn Ashley Wright, la maman qui fait du pole dance en portant son bĂ©bĂ©. Ashley Wright est fan de pole dance et milite pour "l'attachement parental". Conclusion, elle danse avec son bĂ©bĂ© dans le dos ou Ă  cĂŽtĂ© d'elle. Ce qui ne plaĂźt pas Ă  tout le monde. VoilĂ  deux vidĂ©os qui ont un peu plus breakĂ© les Internets que la photo de Kim Kardashian et sa coupe de champagne. Ashley Wright est une fervente dĂ©fenseuse de l'attachement parental - une Ă©ducation qui favorise la proximitĂ© physique entre la mĂšre et son bĂ©bĂ© les clĂ©s peau Ă  peau, allaitement Ă  la demande, co-dodo, portage... - mais pas seulement. Elle est aussi une grande fan de yoga et de pole dancing et poste rĂ©guliĂšrement sur sa chaine YouTube des vidĂ©os sur lesquelles elle montre ses sĂ©ances de danse Ă  la barre. C'est l'une de ces vidĂ©os, postĂ©e le 11 janvier dernier, qui a provoquĂ© un vĂ©ritable buzz sur la Toile. La jeune femme y danse sensuellement Ă  la barre dans son salon pendant que son bambin gambade autour d'elle. Une attitude que de nombreux internautes ont trouvĂ©e particuliĂšrement inappropriĂ©e. Certains n'ont d'ailleurs pas manquĂ© de le faire savoir en des termes parfois trĂšs violents. InvitĂ©e dans l'Ă©mission "The Doctors", la jeune maman a dĂ©clarĂ© comprendre les rĂ©actions mais n'avoir pas l'impression de montrer un mauvais exemple Ă  sa fille, plutĂŽt de montrer une femme qui n'a pas honte de son corps. Depuis, Ashley Wright continue Ă  poster des vidĂ©os de pole dance. Celle oĂč elle danse sur la musique du Roi Lion en portant son bĂ©bĂ© dans le dos a Ă©tĂ© vue 387 396 fois... et a rĂ©coltĂ© 400 likes contre 70 "pouces en bas". ï»żRamenons la barre de pole dance Ă  la maison La plupart d’entre nous ont commencĂ© la pole dance en Ă©cole. AprĂšs quelques mois de cours, j’ai rapidement eu envie d’avoir une pole Ă  la maison. Aller au studio et ĂȘtre supervisĂ©e par un professeur c’est cool, mais un peu de freestyle, seule, je pense que c’est tout aussi important dans le parcours de progression. Donc dĂ©sirant s’exercer plus souvent et Ă  moindre coĂ»t, on finit un jour par avoir l’envie de s’acheter sa propre barre de pole dance. On peut crĂ©er nos propres combos, intĂ©grer ce que l’on a appris en cours ou alors essayer de travailler des figures librement sans se sentir observĂ©e » ahah. De plus, pour progresser rapidement, ce sport nĂ©cessite beaucoup d’ĂȘtre rĂ©gulier et avoir sa propre barre de pole dance est la solution parfaite. Elle nous permet de pouvoir s’entraĂźner ou l’on veut, quand on veut, et gratuitement dans notre appartement ou maison. Dans les studios oĂč je pratique, les pĂŽles sont de la marque Xpole et plus prĂ©cisĂ©ment des Xpole xpert pro powder coated » Pour ce modĂšle, le grip » l’accroche est idĂ©al. Je n’ai quasiment plus besoin de mettre quoi que ce soit sur mes mains ! Cependant pour continuer de construire » ma force, et aussi pour faire de jolies drop » sans y laisser tout mon Ă©piderme, j’ai prĂ©fĂ©rĂ© acheter un modĂšle en chrome pour pratiquer Ă  la maison. Comment choisir une barre de pole dance ? Les diffĂ©rents modĂšles La question qui se pose maintenant pour vous c’est “quel modĂšle de barre de pole dance choisir ?”. Je vous propose de dĂ©couvrir quelques-unes d’entre elles, cela vous aidera Ă  identifier celle qui conviendra Ă  votre utilisation. I – Les diffĂ©rents modĂšles plateforme Les barres plateformes ont pour spĂ©cificitĂ© de pouvoir ĂȘtre utilisĂ©es lorsque nous sommes dans un environnement qui ne bĂ©nĂ©ficie pas de plafond. Autrement dit, si vous souhaitez pouvoir l’utiliser Ă  l’extĂ©rieur c’est le type de barre qu’il vous faut. Elles peuvent ĂȘtre placĂ©es et dĂ©placĂ©es n’importe oĂč sans aucun problĂšme. L’inconvĂ©nient c’est que leur coĂ»t est Ă©levĂ© et qu’elles sont trĂšs lourdes. Quoi de mieux qu’une petite sĂ©ance d’entrainement dans son jardin lors des beaux jours ? X Stage lite Avec une surface de podium plus basse et un poids rĂ©duit, le X-POLE X-STAGE Lite est encore plus portable, mais tout aussi stable que le X-STAGE. L’X-STAGE Lite peut ĂȘtre installĂ© n’importe oĂč avec un dĂ©gagement en hauteur de 3,2 m sans avoir besoin de fixations permanentes des extensions plus courtes sont disponibles si vous n’avez pas le dĂ©gagement minimum. Elle dispose Ă©galement de modes rotatif et statique en standard. Le montage et le dĂ©montage de votre scĂšne sont trĂšs rapide et facile, ce qui vous laisse plus de temps pour profiter de votre poteau. Le X-STAGE Lite est fourni avec des valises de transport sur mesure pour chaque Ă©lĂ©ment de votre scĂšne, ce qui le rend facile Ă  transporter. II – Les diffĂ©rents modĂšles barre amovible On peut monter et dĂ©monter la pole en quelques minutes. L’assemblage est simple et rapide, ce qui laisse la possibilitĂ© de pouvoir pratiquer sur un coup de tĂȘte, en poussant juste un peu son canapĂ© ! Vous avez la possibilitĂ© de l’installer n’importe oĂč si et seulement si votre plafond est adaptĂ© c’est-Ă -dire pas de faux-plafond / placo. Le dĂŽme en haut maintient la pole en place et le systĂšme de joint robuste renforce la sĂ©curitĂ©. Son utilisation est absolument sĂ»re Ă  condition de l’avoir correctement installĂ©e. L’avantage des barres dĂ©montables, c’est que vous n’aurez pas besoin d’endommager votre plafond en le perçant. La barre de pole dance dĂ©montable est parfaite pour vous si vous disposez d’un petit espace Ă  la maison. Dans le commerce vous aurez le choix entre des barres de pole dance ayant un diamĂštre entre 40mm et 50mm. En gĂ©nĂ©ral, en compĂ©tition ou dans les Ă©coles, le diamĂštre de la barre est de 45 mm. Il s’agit de la taille standard. NĂ©anmoins l’accroche des mains est plus confortable sur une barre de pole dance de petit diamĂštre. Les personnes qui ont des mains de petites tailles auront tendance Ă  prĂ©fĂ©rer celle de 40 mm. Comment choisir une barre de pole dance ? statique ou spinning ? 
ou les deux ? L’idĂ©al est d’avoir une barre qui peut passer d’un mode Ă  l’autre. ModĂ©le Xpole Pro Sur le modĂšle Xpole xpert pro. Il suffit juste de clipser et dĂ©clipser le mĂ©canisme en bas de la pole. En prenant les meilleurs Ă©lĂ©ments du XPERT, en y ajoutant le mĂ©canisme de rotation et de statique le plus avancĂ© au monde, X-LOCK, ainsi qu’un dĂŽme supĂ©rieur minimisĂ© et plus Ă©lĂ©gant, vous obtenez le XPERT Pro. X-LOCK vous permet de passer de l’état statique Ă  la rotation en un instant et inversement d’un simple coup de poignet, sans aucun outil. Le XPERT Pro est disponible en chrome, acier inoxydable, laiton, or titane, revĂȘtement en poudre noir, rose et blanc et silicone 45 mm de diamĂštre uniquement en noir et rose, et dans les deux diamĂštres de pĂŽles de 40 mm et 45 mm. ModĂ©le Xpole Xpert Sur les modĂšles Xpole xpert il faut simplement une clĂ© pour visser/dĂ©visser. La barre de pole dance la plus populaire au monde, l’original XPERT de X-POLE, qui tourne et se stabilise. Le XPERT est idĂ©al faire de la pole Ă  domicile. Facile Ă  installer et si simple Ă  utiliser, le XPERT est disponible en chrome, laiton, or titane, revĂȘtement en poudre noir et rose et silicone 45 mm uniquement noir et rose, et dans les deux diamĂštres de poteau de 40 mm et 45 mm. L’XPERT dispose de modes rotatif et statique pour rĂ©pondre Ă  tous les besoins des polers. Comment choisir une barre de pole dance ? choisir le revĂȘtement Il existe diffĂ©rentes finitions pour les barres de pole dance. En fonction de la finition l’adhĂ©rence sera plus ou moins forte. I – Choisir le revĂȘtement ? Powder Coated Cette finition colorĂ©e est parfaite pour les pole dancers avec des problĂšmes de grip ou Ă©tant dans un environnement froid, ce revĂȘtement ne nĂ©cessite aucun rĂ©chauffement. II – Choisir le revĂȘtement ? Silicone Si vous souhaitez pratiquer la pole avec des habits, cette finition est l’idĂ©ale pour vous, de plus elle est trĂšs agrippante. III – Choisir le revĂȘtement ? Titanium Gold Cette finition est l’une des plus adhĂ©rente. si vous vous exercez en mode spinning et que vous voulez avoir une forte adhĂ©rence, ce revĂȘtement est fait pour vous. IV – Choisir le revĂȘtement ? Brass Cette finition permet une excellente accroche. V – Choisir le revĂȘtement ? Acier inoxydable Ce sont les barres de pole dance les plus abordables, mais l’adhĂ©rence est moins bonne. VI –Choisir le revĂȘtement ? Chrome Sur ce type de finition l’adhĂ©rence s’intensifie avec la chaleur de votre corps, ce revĂȘtement est le plus utilisĂ© et convient Ă  un usage ordinaire. Une fois que vous avez fait votre choix dirigez-vous vers X-Pole qui l’une des marques les plus populaires, car fiable et pratique. La suite ? DĂ©couvre